Pour faire court : une liberté plus que jamais revendiquée !
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* Parmi les quelques 160 000 entrées du Festival International du court métrage de Clermont Ferrand, on a pu compter et recompter la cinquantaine d’étudiants de nos BTS « métiers du cinéma ». Du dimanche 1er au mercredi 4 février, emportés dans un tourbillon de projections que creusaient encore les activités du soir, les étudiants ont ainsi perçu l’intérêt du court métrage comme espace unique de renouvellement des écritures cinématographiques.
* Le « marché du court » en a fait les témoins privilégiés des circuits de distribution de « produits culturels ».
* Tous les films vus en près de vingt lieux de projection portaient la marque de notre temps. Des sujets tabous accédaient à une parole encore retenue ; la musique prit parfois le pas sur l’image qui se mit à parler du son ; des « regards » vinrent d’Afrique ou de Palestine ; la Chine dévoilait sa mémoire non officielle ; la « compétition Labo » bousculait - parfois timidement ?- un certain confort de spectateur. De très nombreux « premiers films » enfin ont conforté la proximité de nos étudiants avec les artistes d’aujourd’hui.
* « L’Atelier » leur a permis de regarder, écouter, échanger avec les représentants d’écoles prestigieuses et de divers studios de création, de s’exercer à la table Mashup pour copier, coller, transformer, mixer, assembler images et sons de provenances diverses, puis d’assister à la recréation des conditions d’un enregistrement professionnel, d’avoir en somme une approche sensible des outils de la création :
Comment constituer un « objet cinématographique » accompli ? C’est à cette difficile question, au cœur de ce festival, que nos étudiants s'efforceront de répondre au fil de leurs apprentissages.
Marianne Bayet
Mais d'abord, Clermont, ce fut toute une histoire :
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- BTS audiovisuel